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Nouvelles mesures fiscales 2025

1 min 30 s

Voici les principales nouveautés fiscales qui concernent l'imposition de vos revenus 2024 déclarés en 2025.

Nouvelles mesures fiscales : LCL Banque et Assurance

Déclaration des revenus 2024

Près de 11 millions de foyers fiscaux répondant à certains critères n’ont aucune démarche à effectuer. On parle alors de déclaration « automatique ». Vous êtes concernés si les informations mentionnées par l’administration fiscale mises à votre disposition sur « Votre espace particulier » du site impots.gouv.fr ou par courrier sont exactes. En ligne, cliquez sur le bouton « Vérifier les données de ma déclaration ». Si une fois contrôlées, vous estimez que les données préremplies sont conformes, vous n'avez rien à faire : votre déclaration sera automatiquement validée ! En revanche, en cas d’erreur et/ou d’omission, transmettez une déclaration rectificative en veillant bien à respecter les dates limites de dépôt.

La déclaration en ligne des revenus reste obligatoire en 2024 pour tous les autres contribuables bénéficiant d’un accès à internet, quel que soit leur niveau de revenus. Seules peuvent continuer à remplir une déclaration papier les personnes dont le logement n’est pas relié à internet ou est situé dans une zone non couverte par un service mobile, ou les personnes qui ne s’estiment pas capables de déclarer en ligne (personnes âgées, personnes dépendantes ou handicapées…).

Nouveauté 2025

Une contribution différentielle sur les hauts revenus est créée. Elle instaure une imposition minimale de 20 % sur les plus hauts revenus des contribuables fiscalement domiciliés en France. C’est-à-dire pour les contribuables dont le revenu fiscal de référence dépasse 250 000 € pour une personne seule et le double pour un couple. Le texte prévoit une décote pour atténuer les effets de seuil. En pratique, cette nouvelle contribution s’appliquera au titre des revenus 2025 (à déclarer en 2026). Toutefois, un acompte de 95 % devra être estimé et réglé entre le 1er et le 15 décembre 2025. Une pénalité de 20 % est prévue en cas d’erreur de calcul de plus de 20 % ou de retard,

Calcul de l’impôt sur le revenu 2024

En 2025, le barème progressif de l’impôt sur le revenu change. Les limites des tranches, quant à elles, sont indexées en fonction du taux de l’inflation et majorées de 1,8 %.

Paiement de l’impôt

Les personnes dont les salaires, retraites, allocations de chômage... ont diminué fortement au cours de l’année, ne bénéficient pas d’un droit à l’étalement de leur délai de paiement. En revanche, si elles en font la demande, justificatifs à l’appui, des délais supplémentaires de paiement peuvent leur être accordés au cas par cas par l’administration fiscale.

Il est encore possible de payer, en espèces ou par carte bancaire, vos impôts d’un montant inférieur à 300 € auprès d'un buraliste ou partenaire agréé ou par chèque auprès de votre centre des finances publiques. En revanche, si le montant dû excède 300 €, le règlement doit s’effectuer soit par prélèvement automatique soit paiement par internet. A défaut, vous vous exposez à une majoration de 0,2 %, calculée sur les sommes versées selon un autre mode de paiement, avec un minimum fixé à 15 €.

Couple : le taux individualisé va devenirient la règle

Jusqu’en 2024, un taux unique de prélèvement à la source s’appliquait aux deux membres d’un couple marié ou pacsé soumis à une imposition commune. Ils pouvaient toutefois, opter pour un taux dit « individualisé » qui permet de répartir le paiement de l’impôt entre eux proportionnellement à leurs revenus respectifs. A compter du 1er septembre 2025la règle sera inversée : le « taux individualisé » s’appliquera automatiquement à chaque membre du couple, sauf option contraire.

Fiscalité des revenus du travail

  • Les rémunérations versées au titre des heures supplémentaires et des heures complémentaires pour les salariés à temps partiel sont exonérées d’impôt sur le revenu jusqu’à hauteur de 7 500 € par an et par salarié en 2024.
  • La prime de « partage de la valeur » ou PPV, pour les versements effectués entre le 1er janvier et le 31 décembre 2024, aux salariés d’entreprises de moins de 50 salariés, est exonérée d’impôt sur le revenu, de CSG et de CRDS dans la limite d’un plafond de 3 000 € par bénéficiaire et par année. Ce plafond est porté à 6 000 € si un accord d’intéressement ou de participation a été mis en place. A noter : ces exonérations sont réservées aux salariés dont les revenus mensuels des 12 derniers mois ne dépassent pas trois fois la valeur annuelle du Smic. Pour les salariés dont la rémunération est supérieure à trois Smic annuel ou faisant partie d'une entreprise de plus de 50 salariés l’exonération d’impôt sur le revenu est maintenue sur la fraction de la prime de partage de la valeur versée sur un plan d’épargne (PEE ou PERECO), dans la limite du plafond de 6 000 €.
  • Les salariés qui peuvent convertir en argent tout ou partie de leurs journées ou demi-journées de repos acquis du 1er janvier 2022 au 31 décembre 2025 en application d’un accord de RTT ou d’aménagement du temps de travail, bénéficient d’une exonération de cotisations sociales et d’impôt sur le revenu dans la limite de 7 500 €.

Fiscalité des pourboires

Depuis le 1er janvier 2022 et jusqu’au 31 décembre 2024 (la mesure a été prolongée d’un an), les pourboires versés aux salariés (en espèces ou par carte bancaire) en contact avec la clientèle et dont la rémunération n’excède pas 1,6 Smic sont exonérés de cotisations, de contributions sociales et d’impôt sur le revenu.

Fiscalité des dons

  • La réduction d’impôt de 75 % accordée aux dons consentis aux associations d’aide aux personnes en difficulté voit le montant plafond des versements annuels pris en compte se maintenir à un niveau majoré de 1 000 € par foyer et par an et est pérennisée. Ce taux de 75 % bénéficie également à la campagne de dons lancée par la Fondation du patrimoine au profit de la rénovation des édifices religieux jusqu’au 31 décembre 2025 ainsi qu’aux dons en faveur de la reconstruction de Mayotte effectués entre le 14 décembre 2024 et le 17 mai 2025, avec un plafond annuel relevé à 2 000 €. Au-delà du seuil des 1 000 € (2 000 € pour Mayotte), le taux de réduction passe à 66 % sans pouvoir dépasser 20 % du revenu imposable. L’excédent restant toutefois reportable sur les cinq années suivantes. 
  • La réduction d'impôt de 66 % dont bénéficient les dons faits à des associations ou fondations d’intérêt général s'applique également, en 2024, aux dons attribués au profit d'organismes concourant à l’égalité entre les hommes et les femmes.

Nouveautés 2025

Depuis le 15 février 2025 bénéficient du taux de réduction majoré de 75 %, dans la limite de 1 000 € par an (66 % au-delà), les dons accordés :

  • aux associations de lutte contre les violences faites aux femmes et les violences domestiques. Ces dons bénéficient de la pérénnisation de la mesure au même titre que les dons consentis aux associations d’aide aux personnes en difficulté
  • au profil de fondations d’utilité publique agissant pour la conservation et la restauration du patrimoine immobilier religieux jusqu’au 31 décembre 2025.

Fiscalité de la souscription au capital des PME

La souscription au capital d’une PME non cotée en Bourse réalisées en 2024 ouvre droit à une réduction d’impôt de 18 %, dans la limite de 50 000 € pour un(e) contribuable célibataire, veuf(ve) ou divorcé(e) et de 100 000 € pour un couple marié ou pacsé soumis à une imposition commune. Bénéficie des mêmes taux de réduction d’impôt de 18 % la souscription de parts de fonds communs de placement dans l’innovation (FCPI) et de fonds d’investissement de proximité (FIP), avec un taux majoré à 30 % pour les parts de FIP Corse et outre-mer souscrites en 2024. Les versements sont toutefois retenus dans la limite de 12 000 € pour un(e) contribuable célibataire, veuf(ve) ou divorcé(e) et de 24 000 € pour un couple marié ou pacsé soumis à imposition commune. Un taux majoré de 25 % s’applique aux souscriptions réalisées pour les souscriptions au capital d’une entreprise solidaire d’utilité sociale (ESUS) entre le 28 juin et le 31 décembre 2024 et durant toute l’année 2024 et 2025, pour l’acquisition de parts d’une société foncière solidaire (SFS).

Bon à savoir

Pour tout investissement effectué entre le 1er janvier 2024 et le 31 décembre 2028 dans une PME qualifiée de « jeune entreprise innovante » (JEI ou JEIR), vous bénéficiez de deux nouvelles réductions d’impôts .

- Un taux de réduction d’impôt de 30 % pour les investissements effectués dans une PME qualifiée de « jeune entreprise innovante » (JEI), dans la limite de 75 000 € pour une personne célibataire, veuve ou divorcée et de 150 000 € pour un couple de personnes mariées ou pacsées soumises à une imposition commune.

- Un taux réduction d’impôt de 50 % pour les souscriptions au capital d’une « jeune entreprise d’innovation de rupture » (JEIR), dans la limite de 50 000 € pour une personne célibataire, veuve ou divorcée et de 100 000 € pour un couple de personnes mariées ou pacsées soumises à une imposition commune.

Nouveautés 2025

  • FCPI. Pour les versements effectués pour la souscription de part de FCPI (agréés entre le 1er janvier 2024 et le 31 décembre 2025) le taux de réduction d’impôt est porté de 18 % à 25 %. L’application de ce taux majoré nécessite toutefois l’aval de la Commission européenne. Il entrera en vigueur à compter d’une date fixée par décret. La réduction d’impôt, au taux majoré de 30 %, accordée aux investissements réalisés en direct dans le capital de jeunes entreprises innovantes (JEI) est étendue à la souscription de parts de FCPI investies en titres de JEI.
  • FIP. La réduction d’impôt au titre des souscriptions de parts de FIP qui réalisent leur investissement essentiellement dans l’Hexagone est supprimée pour les versements effectués à compter du 1er janvier 2025. En revanche, le bonus fiscal, au taux majoré de 30 %, est maintenu en 2025 pour les FIP investis en Corse et outre-mer, à Saint-Barthélemy, à Saint-Martin, à Saint-Pierre-et-Miquelon, en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française et dans les îles Wallis et Futuna.

Fiscalité des revenus des locations immobilières

Les revenus perçus, en 2024, pour la location ou la sous-location, en meublé, d’une ou de plusieurs pièces de votre résidence principale sont exonérés d’impôt si vous avez pratiqué un loyer annuel par m2, charges non comprises, inférieur à 206 € en Ile-de-France et 152 € en régions. Pour 2025, ces plafonds sont respectivement de 213 € et 157 €.

Autre condition à respecter : la location doit constituer la résidence principale de son occupant ou la résidence temporaire d’un salarié saisonnier.

Bonne nouvelle, ce dispositif d’exonération, qui devait prendre fin le 15 juillet 2024, est prorogé jusqu'au 31 décembre 2026.

 A savoir : est également reconduite jusqu'au 31 décembre 2026 l’exonération dont bénéficie le loueur qui propose de façon habituelle une ou plusieurs pièces de son habitation principale comme chambre d’hôtes, lorsque ses gains n’excèdent pas 760 € par an. 

C’est nouveau

La réforme des meublés, entrée en vigueur le 1er janvier 2025, alourdit la fiscalité applicable dès la déclaration 2026.

  • Le plafond des loyers à respecter pour bénéficier du régime du micro-BIC est abaissé. Il passe de 77 700 € à 15 000 € par an pour les meublés non classés et de 188 700 € à 77 700 € par an pour les meublés classés ou les chambres d’hôtes. 
  • L’abattement forfaitaire pour charge est lui aussi raboté. Il est ramené de 50 % à 30 % pour les meublés non classés et de 71 % à 50 % pour les meublés classés ou les chambres d’hôtes.

Travaux de rénovation énergétique : déficit foncier doublé

Afin d’inciter les propriétaires bailleurs à réaliser des travaux de rénovation thermique dans leur logement, la limite annuelle d’imputation des déficits fonciers sur le revenu global fixé à 10 700 € et temporairement doublé (à 21 400 €) en cas de réalisation de travaux permettant au logement de passer d’une classe énergétique E, F ou G à A, B, C ou D au plus tard le 31 décembre 2025. A noter : la mesure s’applique aux devis signés à compter du 5 novembre 2022 et payés entre le 1er janvier 2023 et le 31 décembre 2025.

Fiscalité des plus-values immobilières

Afin d’inciter les propriétaires à mettre en vente un terrain à bâtir ou un logement dont ils n’ont pas l’utilité, situé en zone tendue (zones A bis, A et B 1), un abattement temporaire exceptionnel de 60 % (jusqu’à 85 % sous conditions) est instauré sur les plus-values immobilières. La promesse de vente doit être signée entre le 1er janvier 2024 et le 31 décembre 2025.

Une exonération totale d’impôt sur le revenu s’applique aux plus-values immobilières réalisée lors de la cession d'un droit de surélévation, à condition que l’acquéreur s'engage à réaliser et à achever exclusivement des locaux destinés à l'habitation dans un délai de 4 ans à compter de la date d'acquisition du droit de surélévation. Ce dispositif temporaire, qui devait prendre fin le 31 décembre 2024, a été prorogé jusqu'au 31 décembre 2026.

Nouveauté 2025

A compter du 15 février 2025, les plus-values réalisées par les loueurs en meublé non professionnels (LMNP) sont majorées des amortissements pratiqués. Ces derniers, qui permettent de réduire l'imposition sur les revenus locatifs, doivent désormais être réintégrés dans le calcul de la plus-value lors de la cession du bien, à l’exception notable de biens situés dans certaines structures accueillants des publics jeunes, âgés et/ou handicapés (résidences étudiants, résidences services pour personnes âgées ou handicapées…).

La plus-value de cession d’un bien loué en meublé non professionnel se calcule selon la formule suivante :

Prix de cession – (prix d’acquisition – amortissements déduits)

Ne sont toutefois pas inclus dans la minoration du prix d’acquisition, les amortissements constitutifs de dépenses de construction, de reconstruction, d'agrandissement, d'amélioration ou de démolition prises en compte pour la détermination de l’impôt sur le revenu.

Impôts locaux

Après un bond de 7,1 % en 2023 et une hausse de 3,9 % en 2024, la progression de la taxe foncière devrait rester contenu autour de 1,7 % en 2025.

Alors que la taxe d’habitation a été supprimée en 2023 sur les résidences principales, elle persiste sur les résidences secondaires. Les communes situées en zones tendues peuvent même instaurer une majoration de 5 % à 60 %. Prèsde 3 700 [A1] municipalités sont autorisées à surtaxer ces propriétés en 2024. Liste ici.

[A1]Source si nécessaire : https://www.banquedesterritoires.fr/residences-secondaires-plus-dun-millier-de-communes-supplementaires-ont-institue-la-surtaxe-en-2024

Crédits d’impôt et réductions d’impôt

Rappel des principaux dispositifs en vigueur en 2024 et découverte des nouveautés 2025.

  • Fin de la réduction d’impôt Pinel qui n’a pas été reconduite en 2025. En revanche, elle s’applique aux investissements réalisés jusqu’au 31 décembre 2024 dans les zones les plus tendues (A, Abis et B1). L’avantage fiscal est toutefois réduit progressivement en 2023 et 2024, sauf pour les investissements éligibles au Pinel +.
  • La réduction d’impôt « Denormandie » ouverte, depuis le 1er janvier 2019, aux acquisitions de logements anciens à réhabiliter (les travaux d’amélioration, notamment de la performance énergétique, doivent représenter au moins 25 % du coût total de l’opération) est applicable jusqu’au 31 décembre 2026.
  • Depuis le 1er janvier 2024 et jusqu’au 31 décembre 2025, le crédit d’impôt pour adaptation du logement à l'âge ou au handicap est attribué sous conditions de ressources. Il est réservé aux personnes percevant des revenus intermédiaires et son champ d’application est restreint. Pour les revenus modestes et très modestes, le crédit d’impôt a été remplacé par un nouveau dispositif, baptisé MaPrimeAdapt'.
  • Le crédit d’impôt de 50 % des salaires et cotisations, pour l’emploi d’un salarié à domicile, est versé instantanément aux contribuables qui règlent leur salarié via le chèque emploi service universel (Cesu) et activent Cesu+. Idem pour la garde d'enfants de plus de 6 ans, que les parents passent par une entreprise prestataire ou embauchent un salarié à domicile. En revanche, la mise en œuvre du dispositif pour la garde d'enfants de moins de 6 ans est reportée à 2026. 
  • Le crédit d’impôt en faveur des bornes de recharge pour véhicule électrique représente 75 % du montant des dépenses engagées, entre le 1er janvier 2021 et le 31 décembre 2025, dans la limite de 500 € (frais de pose inclus) pour un système de recharge « pilotable ». Ce plafond est limité à 300 € pour les systèmes non pilotables installés en 2024, pour lesquels un acompte a été versé en 2023.
  • Le crédit d’impôt pour les dépenses de diagnostics et travaux de protection contre les risques technologiques est applicable jusqu’au 31 décembre 2026.
  • La réduction d’impôt pour investissements forestiers est applicablejusqu’au 31 décembre 2025.
  • La réduction d’impôt ouverte par le dispositif Malraux  s’applique aux dépenses engagées jusqu’au 31 décembre 2024. Depuis le 1er janvier 2025, l’avantage fiscal est réservé aux seuls sites patrimoniaux remarquables.
  • La réduction d’impôt pour souscription au capital d'une Sofica (société de financement de l’industrie du cinéma) est applicable jusqu’au 31 décembre 2026.
  • La réduction d’impôt attachée au dispositif « Girardin » qui s’applique lorsque vous réalisez des travaux de réhabilitation et de confortation contre le risque sismique et le risque cyclonique de logements anciens en outre-mer reste en vigueurjusqu’au 31 décembre 2029.
  • Le dispositif « Loc'Avantages », qui permet aux bailleurs de bénéficier d’une réduction d’impôt pouvant atteindre 65 % des revenus bruts du logement, est prorogé de trois ans, jusqu’au 31 décembre 2027. Y sont éligibles les baux à loyer abordables conclus sous réserve de respecter un certain nombre de conditions (plafonds de revenus et de loyers…). Et ayant fait l’objet entre le 1er avril 2022 et le 31 décembre 2027, d’une demande de convention avec l’Agence nationale de l’habitat (Anah).

Nouveautés 2025

Les dons familiaux de sommes d'argent consentis du 15 février 2025 au 31 décembre 2026 sont exonérés de droit de mutation à titre gratuit dans la double limite de 100 000 € par un même donateur à un même donataire (celui qui reçoit le don) et de 300 000 € par donataire, sous certaines conditions. Les dons doivent notamment être :

  • versés à un enfant, un petit-enfant, un arrière-petit-enfant ou, à défaut, à un neveu ou à une nièce.
  • Et destinés à financer : l'acquisition d'un immeuble acquis neuf ou en l'état futur d'achèvement à usage de résidence principale pour le donataire ou son locataire ; ou des travaux et des dépenses éligibles « MaPrimeRénov' », réalisés sur le logement dont le donataire est propriétaire et qu'il affecte à son habitation principale

Avertissement : Les informations fournies par LCL proviennent de sources dignes de foi mais ne sauraient entraîner sa responsabilité en cas d'inexactitude.