Dès 1 000 euros : les SCPI et les OPCI

Achat immobilier grâce à internet

Les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) et les organismes de placement collectif immobilier (OPCI) appartiennent à la famille de la pierre papier. Concrètement, il est possible de souscrire des parts de ces placements distribués par les établissements financiers et gérés par des sociétés spécialisées, à partir d'une centaine d'euros. Ici, vous devenez propriétaire d'une fraction d'un patrimoine immobilier (bureaux, commerces, logements…).

En contrepartie, vous percevez, au prorata, des loyers et des plus-values de cession, le tout sans avoir à gérer les biens en direct.

Bon à savoir :

les SCPI et OPCI dont les rendements moyens 2019 se situent autour de 4.4 % peuvent être souscrits dans le cadre d'un contrat d'assurance vie. Une solution qui permet de bénéficier d'une fiscalité avantageuse, de performances dopées ainsi que d'une parfaite liquidité à la revente.

À partir de 5 000 euros : les parkings et les caves

Certains mètres carrés rapportent plus que d'autres et coûtent moins cher à l'achat. Dans cette catégorie cohabitent deux types de biens dont la rentabilité peut atteindre 6 % nets : les parkings, garages ou box (21 400 euros à l'achat en moyenne, selon Monsieur parking) et les caves (1 000 à 3 000 €/m2 à Paris selon Jestocke.com).

Des petites surfaces qui se louent facilement et à bon prix, à condition de bien choisir leur emplacement : dans les centres des grandes villes pour les premiers ; dans les quartiers résidentiels des grandes agglomérations où l'immobilier est cher (et donc les logements plus petits) pour les espaces de stockage.

50 000 euros : une petite surface dans une ville dynamique

Très prisées dans les grandes villes par les étudiants ou les jeunes actifs, les chambres, studettes ou petits studios, permettent de réaliser un investissement locatif avec des mises de départ limitées.

Vous pouvez louer ces petites surfaces vides ou meublées. Cet investissement peut même vous permettre de faire d'une pierre deux coups : percevoir les loyers et réduire, voire annuler les impôts sur le bien (régime d'imputation du déficit foncier ou de loueur en meublé non professionnel). Gains espérés : entre 1 et 4 % bruts par an.

Pour aller plus loin :

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