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La forêt, alliée essentielle pour le climat

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Avec une superficie d’environ 17,5 millions d’hectares (ha), soit 32 % du territoire hexagonal et Corse, auxquels s’ajoutent 8,24 millions d’ha répartis sur les cinq départements et régions d’outre-mer(1), la France est la quatrième surface forestièreen Europe(2).

La forêt, alliée essentielle pour le climat

Un « poumon vert » détenu à 25 % par l’État, les collectivités locales et les communes. Les 75 % restants le sont par environ 3,5 millions de propriétaires privés(2).

Chaque plante, chaque animal joue un rôle différent dans nos écosystèmes. Les forêts ont notamment celui d’absorber le dioxyde de carbone, permettant de réduire les émissions de gaz à effet de serre.

En France, les forets captent 83 millions de tonnes de CO2, soit 15 % de nos émissions annuelles, contribuant à assainir l’air que nous respirons.

Surnommé le roi de la forêt, un chêne Sessile de 50-55 ans en absorbe 800 kg. Et même coupés, les arbres continuent de stocker le carbone (1 m3 de bois stocke 1 tonne de CO2): c’est le principe d’additionnalité. « Deuxième plus grand puits de carbone derrière les océans, les forêts sont essentielles à la préservation de l’environnement et l’une des solutions naturelles pour lutter contre le changement climatique, indique Caroline Laroui, Chargé de marketing au sein de la filière épargne de LCL. C’est un levier clé pour atteindre la neutralité carbone en France en 2050 du fait de leur capacité à séquestrer du carbone et à éviter, grâce à l’emploi du bois, des émissions de carbone fossile ».

Une mosaïque d’habitats forestiers

Les forêts ne se résument pas aux seuls arbres, loin de là ! Qu’elles soient primaires, secondaires, naturelles ou plantées, ce sont aussi de formidables réservoirs de biodiversité. En effet, elles abritent une flore (arbres, plantes non ligneuses, mousses), une fonge (champignons) et une faune (insectes, mammifères, oiseaux…) souvent unique à leur environnement, différemment réparties et formant des mosaïques d’habitats forestiers. En France métropolitaine, les forêts comptent 190 espèces d’arbres, principalement des chênes, des hêtres et des pins ; elles servent sous différentes formes de lieu de vie et de refuge à 73 espèces de mammifères, 120 espèces d’oiseaux, 30 000 espèces de champignons et autant d’insectes et 72 % de la flore(2). Pour Caroline Laroui, « il convient de préserver cette richesse naturelle. Cela passe par une gestion et un entretien plus respectueux des écosystèmes forestiers et la reconquête de certaines espèces notamment par la conservation d’arbres morts au sol, d’îlots de libre évolution, mais également par le recensement de milieux spécifiques comme les zones humides ou les tourbières ».

Un rôle économique et sociale

Au-delà de préserver la biodiversité, de filtrer l’air et l’eau, « les forêts participent activement au développement économique des territoires à travers la filière forêt-bois », souligne Caroline Laroui. Celle-ci compte 60 000 entreprises, 440 000 emplois directs et indirects locaux et non délocalisables et réalise 53 milliards d’euros de chiffre d’affaires(3). Matériau durable, naturel, renouvelable, isolant… le bois revêt différents usages : transformation (sciage, panneau, pâte à papier, bois énergie…), fabrication (ameublement, charpente, emballage, menuiserie…), mise en œuvre (construction, rénovation…). Et dans un contexte mondial de transition énergétique, où la demande globale de bois est en hausse, la filière forêt-bois est promise à un bel avenir. Enfin, par les aménités qu’elles procurent, les forêts sont un terrain privilégié pour s’adonner à de multiples loisirs : randonnée, chasse, cueillette, découverte de la faune et de la flore, sports de plein air…

Actifs tangibles

Pour soutenir la filière forêt-bois, contribuer à la préservation de l’environnement, il est possible d’acquérir une forêt. Mais cela demande une certaine expertise et un investissement de plusieurs milliers d’euros. Autre solution : souscrire des parts de Groupement Forestier d’Investissement (GFI). Elles présentent l’avantage d’être agréées par l’Autorité des marchés financiers, liquides et libres quant au nombre d’investisseurs et au montant d’investissement. L’acquisition des parts de GFI permet de diversifier son patrimoine sur long terme, de lui donner du sens et également de transmettre un actif transgénérationnel dans un cadre fiscal avantageux(4).
Bien entendu, investir dans des parts de GFI présente un risque de perte en capital non mesurable a priori. Aussi, il convient de se rapprocher de son conseiller afin de vérifier que ce placement correspond à sa situation et profil d’investisseur comprenant les connaissances et expérience en matière d’investissement, la tolérance au risque et les préférences en matière de durabilité.

Communication à caractère publicitaire - Avertissement

Les informations communiquées ci-dessus le sont à titre purement informatif et n’ont pas de valeur contractuelle, elles sont fournies à partir de sources considérées comme fiables au 01/07/2025.

Rien ne garantit que les considérations ESG (Environnement, Social et de Gouvernance) amélioreront la stratégie d’investissement ou la performance d’un investissement dans les forêts.

Avant de prendre tout décision finale d’investissement, l’investisseur doit prendre connaissance des informations contenues dans la documentation juridique du produit financier.

Distributeur : Crédit Lyonnais S.A. au capital de 2 037 713 591 € - SIREN 954 509 741 – RCS Lyon - Siège social : 18 rue de la République, 69002 Lyon. Siège central : LCL, 20 avenue de Paris, 94811 Villejuif Cedex - Inscrit sous le numéro d’immatriculation d’intermédiaire en assurance ORIAS : 07001878.