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Intelligence Artificielle : investir l'ensemble de la chaîne de valeur

2 min

Au-delà des géants américains qui ont jusqu'ici concentré les performances dans ce domaine, cette thématique d'investissement de long terme offre aussi une exposition diversifiée à tous les secteurs aux premières loges de cette révolution.

Intelligence Artificielle : investir l'ensemble de la chaîne de valeur

Un secteur technologique en forte décrue depuis janvier

Après une fin d'année porteuse, le secteur technologique a connu une forte décrue boursière depuis janvier. Plusieurs raisons à cela. En premier lieu, la baisse générale des marchés outre-Atlantique avec, en toile de fond, les incertitudes liées à la politique tarifaire de l'administration Trump et son impact sur la santé économique des États-Unis. Ensuite, dans le sillage du phénomène DeepSeek, la remise en question du modèle de développement - dispendieux - des géants américains de la "tech" en matière d'intelligence artificielle (IA). Aussi performant que ChatGPT, le chatbot de la start-up chinois a, en effet, surtout été élaboré à moindre coût.

Pour autant, l'essor de l'IA est loin d'être compromis.

Bien au contraire. "Le succès de DeepSeek tient autant à sa performance qu'à son aspect low cost, souligne Estelle Ménard, Directrice des investissements chez LCL Banque Privée. De fait, la baisse des coûts dans ce domaine va participer à une démocratisation de l'IA auprès d'un plus grand nombre d'utilisateurs dans le monde et engendrer une demande de calculs plus importante. Ce qui, à terme, devrait profiter aux pionniers du secteur". Si passagers soient-ils, les soubresauts capitalistiques des "Sept Magnifiques" ne remettent donc pas fondamentalement en cause les perspectives du secteur. Au même titre que la révolution industrielle ou l'internet en leur temps, l'IA porte intrinsèquement les germes d'une disruption qui s'annonce séculaire. En matière d'investissement, elle est désormais ancrée comme une thématique structurelle de long terme. "Nous ne sommes qu'au début d'un cycle qui, il y a quelques années, ne faisait que quelques milliards de dollars en termes de marché adressable, relève Estelle Ménard. À l'horizon 2027, celui-ci est désormais estimé à 400 milliards de dollars". Quant aux dépenses d'investissement dans les centres de données, elles devraient doubler pour atteindre les 1 000 milliards de dollars en 2030.

Un engouement croissant

Dans ces conditions, l'intérêt que porte les investisseurs à ce domaine n'est pas prêt de faiblir. La décrue des géants technologiques américains offre d'ailleurs l'opportunité de points d'entrée plus favorables pour aborder ce genre de valeurs. Néanmoins, au regard du champ des possibles ouvert par l'IA et les bouleversements qu'elle suggère pour l'économie mondiale, il serait réducteur de se limiter aux grands noms trop connus pour investir sur cette thématique. Car si l'engouement sur le sujet a essentiellement profité jusqu'ici aux architectes de cette révolution et, par extension, aux acteurs annexes qui y sont liés, il va désormais concerner les premiers secteurs susceptibles d'en bénéficier. "À terme, deux tiers de l'IA seront utilisés autour de la recherche et développement, de la vente et marketing, de la gestion client et du développement logiciel, détaille la directrice des investissements chez LCL Banque Privée. Quatre axes stratégiques qui vont permettre aux entreprises à la fois d'améliorer leur productivité, d'accélérer les sources de revenus, de prendre un avantage concurrentiel et de gagner des parts de marché". 

Les secteurs concernés

La diffusion de l'IA devrait toucher, en premier lieu, des secteurs comme les réseaux sociaux ou l'e-commerce dont les algorithmes de recommandation vont permettre d'améliorer l'expérience utilisateur. Dans le même sens, les acteurs concernés de près ou de loin par le retail media (grande distribution, médias) sont aux premières loges de la révolution en cours. Ces derniers, et plus largement la consommation non cyclique, ne manqueront pas notamment de bénéficier de l'utilisation et la monétisation des données client. Le secteur bancaire et de l'assurance est, pour sa part, susceptible d'en profiter pour bonifier la satisfaction de leur clientèle. Naturellement, le phénomène sera aussi très prégnant pour celui des SSII* en matière de développement informatique pour améliorer le code et le déploiement des logiciels. "Les sociétés qui souhaitent mettre en place des structures internes d'IA ou des services dédiés vont amplifier la demande de ce secteur, explique Estelle Ménard. Cela va se traduire par un accroissement des contrats mais aussi de leur taille dont la valeur sera plus importante". Enfin, les domaines de la santé (notamment dans l'analyse de l'imagerie médicale) ou de la défense ne devraient pas non plus rester en marge de cette mutation.

Une thématique d’investissement pas facile à appréhender

Mais, avec une diffusion globale à l'ensemble de l'économie, il n'est pas toujours évident d'aborder cette thématique d'investissement. Par-delà les "pure players" incarnés par les Sept Magnifiques, il convient, en effet, d'investir toute la chaîne de valeur liée à ce thème, des fournisseurs de composants jusqu'aux utilisateurs de l'IA. "L'idée, c'est d'être suffisamment diversifié et d'offrir une gamme relativement large de secteurs dans le portefeuille pour toucher tous les domaines relatifs à l'IA" résume Estelle Ménard. Pour ce faire, il est préférable d'investir dans un fonds ou un ETF. Outre la diversification qu'ils offrent, ils tiennent aussi compte des valorisations, des risques encourus en cas de forte concentration des performances comme ce fut le cas ces deux dernières années. "Chez LCL, nous avons identifié quatre supports intéressants pour jouer cette thématique sans être trop concentrés sur les grands noms du secteur, précise Estelle Ménard. Il s'agit du fonds  CPR Invest - Artificial Intelligence, de Polar Capital Artificial Intelligence, plus diversifié, et le fonds EdR Fund Big Data d'Edmond de Rothschild AM, plus concentré sur le thème de la donnée. Au-delà de la gestion active, l'ETF Amundi MSCI Robotics & AI UCITS ETF est aussi intéressant pour aborder cette thématique".

*Sociétés de services en ingénierie informatique

Propos à caractère informationnel et publicitaires recueillis le 22 avril 2025 ;

Principaux risques

Risque de perte en capital. Les investisseurs peuvent ne pas récupérer le montant initial investi et peuvent perdre la totalité de leur investissement.

Risque lié aux marchés sur lesquels sont exposés les ETF et les OPC. Le prix et la valeur des investissements liés au risque de liquidité des composants. Les investissements réalisés peuvent donc varier à la hausse comme à la baisse.

Risque lié à la volatilité des valeurs/des devises composant l’indice de référence du fonds.

Risque que l’objectif de gestion du fonds ne soit que partiellement atteint.

Ceci est une communication marketing. Tout investissement comporte des risques spécifiques. Il est recommandé à l’investisseur de s’assurer de l’adéquation de tout investissement à sa situation personnelle en ayant recours le cas échéant à des conseils indépendants. De plus, il devra prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur (DIC) et/ou tout autre document requis par la réglementation locale avant toute souscription disponibles sur les sites

https://www.amundietf.fr/fr/particuliers/produits/equity/amundi-msci-robotics-ai-ucits-etf-acc/lu1861132840, https://cpram.com/fra/fr/particuliers/products/LU2860961312 ou http://funds.edram.com. Il y trouvera également de plus amples informations sur les risques, les coûts, les frais accessoires et les autres dépenses

Ce document est de nature commerciale. Les informations contenues dans le présent document sont des informations promotionnelles et non contractuelles qui ne doivent pas être considérées comme un conseil en investissement ou une recommandation d’investissement, une sollicitation d’investissement, d’offre ou d’achat de la part de LCL, CPR Asset Management, d’Amundi Asset Management (« Amundi »), EDMOND DE ROTHSCHILD ASSET MANAGEMENT, de Polar Capital LLP ou de l’une de leurs filiales.

Les informations contenues dans le présent document sont réputées exactes à avril 2025. Les données, opinions et estimations peuvent être modifiées sans préavis. La décision d’investissement doit tenir compte de toutes les caractéristiques et de tous les objectifs du Fonds, tels que décrits dans le prospectus concerné.

Les investissements du compartiment EdR Fund Big Data sont soumis aux fluctuations des marchés actions, de taux d’intérêt et de devises. Le compartiment ne bénéficie d’aucune garantie ni protection et présente donc un risque de perte en capital. Les investisseurs encourent le risque de potentiellement recouvrir une somme inférieure au montant qu’ils ont investi.

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