Ainsi, dans le prolongement de sa démarche RSE et notamment du partenariat avec le studio design d’Emmaüs – Les Résilientes, LCL poursuit son engagement en ajoutant une nouvelle brique à son dispositif : une filière pour recycler le mobilier usagé et non plus le détruire.
Cette démarche s’intègre dans le plan de développement LCL qui vise à renforcer notre impact sur les grands défis environnementaux et sociétaux.
Nous pourrons suivre les résultats de cette collaboration grâce à un reporting traduisant le tonnage de matières recyclées en tonnes de CO2 économisées.
Le mobilier usager sera pris en charge de 2 façons :
1) Don : grâce au réseau d’associations de Valdélia, le mobilier sera donné à des structures de l’économie sociale et solidaire (association, structure d’insertion par le travail…).
2) Dépose en point collecte : les mobiliers usagés non donnés seront envoyés vers des points de collecte Valdélia qui gèreront leur 2nde vie par :
- REEMPLOI / REUTILISATION : Réparer les mobiliers professionnels usagés afin qu’ils soient de nouveau utilisés
Le + : limite les quantités de déchets et évite le gaspillage - TRAITEMENT : Transformer les mobiliers au rebut en une matière première utilisable pour la fabrication de mobiliers neufs
Le + : approvisionner les chaînes de fabrication de mobiliers neufs - UPCYCLING : Créer de nouveaux produits à partir de mobiliers usagers à l’instar de ce que fait le studio design d’Emmaüs – Les Résiliente.
Le + : prototyper des gammes de mobiliers innovants et recyclés
Ainsi LCL ne jette plus ce qui peut être encore utilisé ou transformé, apporte sa contribution au développement durable et contribue à la réinsertion sociale par le travail.
Présentation Valdélia :
- Éco-organisme agréé par le Ministère de la Transition écologique et solidaire depuis 2013
- Créé en 2011 de l’association de 13 industriels pour organiser la filière du recyclage des déchets d’éléments d’ameublement (DEA) détenus par les professionnels
- À but non lucratif
- En réponse à la réglementation du Grenelle 2 de l’environnement de 2010, et plus particulièrement du décret du 6 janvier 2012 qui impose aux fabricants et distributeurs d’assurer la prise en charge de la collecte et du traitement de leurs DEA Pro en fin de vie.