Depuis 2021, LCL mène des actions de sensibilisation en interne et soutient la recherche en permettant à ses collaborateurs de participer à des courses solidaires, ou à ses clients de contribuer à travers des offres commerciales qui s’accompagnent de dons.
En 2024, LCL reste fidèle à Gustave Roussy, premier centre de lutte contre le cancer en Europe et s’implique de différentes façons pour récolter des fonds.
Des fonds sociaux engagés
Grâce à la commercialisation de deux nouveaux titres de créances sociaux, LCL Care Impact et LCL Solidaire & Santé, à destination des clients particuliers et Banque privée, des dons seront très prochainement attribués à Gustave Roussy.
Ces dons permettront de développer le programme 50 nuances de rose, qui consiste à adapter les protocoles médicaux pour préserver la qualité de vie des femmes atteintes de cancers du sein.
Les collaborateurs en piste avec Odyssea, course solidaire contre le cancer du sein
En 2024, LCL renouvelle sa mobilisation auprès d’Odyssea, qui finance la recherche contre le cancer du sein en organisant des courses en France.
Plus de 500 collaborateurs de l’Ile-de-France et des régions de Marseille et de Nantes se mobilisent en courant pour la lutte contre le cancer du sein. Grâce à leur énergie, des dons qui seront versés à l’AP-HM (Assistance publique – Hôpitaux de Marseille) et à Gustave Roussy.
LCL, partenaire fidèle à Gustave Roussy
A Gustave Roussy, chercheurs et médecins travaillent ensemble pour apporter des solutions thérapeutiques à toutes les pathologies, notamment aux cancers du sein. Le comité de pathologie mammaire soigne chaque année plus de 10 000 femmes atteintes d’un cancer du sein.
LCL soutient plus particulièrement 2 programmes :
Le programme « Compass »
Ce programme s’adresse aux patientes ayant une rechute précoce de cancer du sein triple négatif, c'est-à-dire survenant pendant le traitement initial du cancer localisé ou dans les 12 mois suivant ce traitement, et n'ayant pas encore reçu de traitement lors de la récidive métastatique.
Le but de Compass est d’identifier rapidement un traitement efficace du cancer du sein métastatique triple négatif en rechute précoce, d’identifier les facteurs associés à la réponse et à la résistance aux traitements et mieux comprendre les caractéristiques biologiques de la maladie.
LCL soutient ce programme depuis maintenant 2 ans. Les fonds collectés ont permis :
- L’enrôlement d’un oncologue médical et le recrutement d’une cheffe de projet
- La conception d’un site ayant pour but de faire connaitre le programme et de faciliter l’inclusion des patientes suivies dans d’autres centres partout en France.
- La coopération avec 2 laboratoires de recherche fondamentale et d’analyses biologiques qui permet de mieux comprendre l’évolution de la maladie.
Le programme « 50 nuances de rose »
Ce programme consiste à adapter les protocoles médicaux pour préserver la qualité de vie des femmes atteintes de cancers du sein.
Plus de 30 000 patientes par an, atteintes de cancer du sein, présentent une altération de leur qualité de vie liée à la toxicité chronique des traitements.
Les équipes de chercheurs ont comme ambition d’identifier le risque individuel de rechute dès le diagnostic et de comprendre les mécanismes biologiques à l’origine des toxicités afin de mieux les prévenir.
Le cancer du sein en chiffres*
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme dans les pays occidentaux. La dernière décennie a été caractérisée par une augmentation importante des taux d’incidence.
- 1 femme sur 8 sera touchée par un cancer du sein
- 59 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année en France
- Plus de 8 000 nouveaux cas de cancer du sein par an en France sont imputable à l’alcool
- 21% des cancers du sein sont liés à un manque d’activité physique
- 3/4 des nouveaux cas se déclarent chez des femmes de plus de 50 ans
- Seulement 50% des femmes de 50 à 74 ans en France participent à la campagne nationale de dépistage
- Il est estimé que plus de 30 000 patientes par an, atteintes de cancer du sein, présentent une altération de leur qualité de vie liée à la toxicité chronique des traitements
- *Sources : Gustave Roussy